Ahvaz

Ahvaz

Abadan

Abadan se trouve au sud-ouest de l’Iran, à 53 kilomètres du golfe Persique, près de la frontière Iran-Irak et  à 140 km de la ville d’Ahvaz, la capitale de la province du Khouzistan.

La ville a été ruinée pendant la guerre Iran-Irak (1980–88). La population civile de la ville a chuté de près de zéro pendant les huit années de la guerre. Le recensement de 1986 n’a enregistré que 6 personnes. En 1991, 84 774. la population d’aujourd’hui est passée à près de 350000 personnes. La raffinerie d’Abadan est l’une des plus grandes au monde. La population est majoritairement arabophone.

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Tchoga Zanbil
la ziggourat de Tchoga Zanbil situé au sud -Ouest de l’Iran, conserve les ruines de la ville sainte du royaume d’Élam, fondée vers 1250 av. J.-C.
la ville de Tchoga Zanbil (Dur-Untash, la ville d’Untash en élamite) a été fondée par le roi Untash-Napirisha (1275-1420 av. J.-C.) pour servir de capitale religieuse au pays. L’élément principal de cet ensemble est une gigantesque ziggourat, un type de monument pyramidal à degrés, dédiée aux divinités élamites, Inshushinak et Napirisha.
Tchoga Zanbil (le monticule en forme de panier ainsi nommé par les locaux) n’a jamais été achevée et seuls quelques prêtres y vécurent jusqu’à sa destruction par le roi assyrien Ashurbanipal, c. 640 av. J.-C.
On décorait la ziggourat d’un parement de briques cuites, dont un certain nombre était orné de caractères cunéiformes décrivant, dans les langues élamite et akkadienne, les noms des divinités et
maudissant ceux qui oseraient détruire le temple sacré.
Le hasard a fait qu’un pilote d’avion travaillant pour une compagnie pétrolière étrangère découvre le site en patrouillant dans la région. L’archéologue français Roman Ghirshman sera l’un des premiers à en effectuer les fouilles au début du 20ème siècle.
Parmi les particularités qui font l’originalité de son architecture, on note les étages imbriqués les uns dans les autres, des premières exemples de voûtes , les angles du bâtiment sont dans les 4 point (direction) cardinaux.
L’Iran , terre de légendes

Suse
Situé dans le sud-ouest de l’Iran, le site met en évidence les traces culturelles de différentes périodes historiques telles que proto- elqmite , élamite, perse et parthe.
Les vestiges de l’ancienne ville de Suse témoignent de manière exceptionnelle des vestiges des antiques successives pendant plus de six millénaires, en plus elle a été la capitale des empires élamite et achéménide. Il contient 27 couches d’établissements urbains superposés dans une succession continue depuis la fin du 5e millénaire jusqu’au 13e siècle avant de notre ère. Suse est sûrement l’un des plus anciens sites où les processus d’urbanisation s’est cristallisés à la fin du 5e millénaire av. Une décennie de fouilles archéologiques de 1968 à 1978 et des travaux philologique à Susa ont également documenté le développement de ce centre urbain au cours des millénaires.

Le tombeau de Daniel est le lieu de sépulture traditionnel du prophète judéo-islamique Daniel.
Divers endroits ont été nommés pour le site, mais la tombe de Susa, en Iran (Perse), est la plus largement acceptée, elle a été mentionnée pour la première fois par Benjamin de Tudela, qui a visité l’Asie entre 1160 et 1163.
La tombe actuelle a été rénovée et réparée en 1870 après JC par ordre du savant chiite Sheikh Jafar Shooshtari.

Les moulins à eau de shushtar sont construits environ au 3ème siecle de notre ère. le mécanisme ingénieux permettait de dompter l’eau des rivières de la région et de la dirriger vers une digue qui alimentait plus de 40 moulins. La répartition de l’eau se faisait par un système de vannes qui réglait un débit optimal pour chaque Moulin .
Shushtar était une métropole prospère à son apogée. Les vestiges de ces constructions sont , entre autres, les ponts bâtis par les prisonniers Romains, selon le savoir-faire qu’on leur connaît bien.
Cette ville a également servi de refuge aux chrétiens Nestoriens, persécutés par les romains.

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