Catégorie : Art

Omar Khayyam

Omar Khayyam

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Le 18 mai est le jour de commémoration de l’illustre Hakim Omar Khayyam.

Il fut philosophe, mathématicien, astronome et poète au 11 siècle.

Omar Khayyam

Voici le matin, goûtons un peu de vin rosé

Comme un cristal brisons notre renommée

Renonçant à nos espoirs insatiables, jouons

De la harpe avec des cheveux de l’aimée

Traduit : Peyman Javaheri

صبح است دمی بر می گلرنگ زنیم

وین شیشه نام و ننگ بر سنگ زنیم

دست از امل دراز خود باز کشیم

در زلف دراز و دامن چنگ زنیم

Le 18 mai est le jour de commémoration de l’illustre Hakim Omar Khayyam.

Il fut philosophe, mathématicien, astronome et poète au 11 siècle.

Il est considéré comme l’un des plus grands mathématiciens du Moyen âge. Omar Khayyam est notamment l’instigateur du calendrier solaire, toujours utilisé en Iran.

Mais sa renommée tient surtout à l’écriture de ses quatrains, Rubaiyat, souvent cités en Occident pour leur scepticisme. Ils recèleraient, selon Idries Shah, des « perles mystiques », faisant de Khayyam un soufi. C’est l’un des poètes persans les plus populaires et les plus lus à travers le monde.
Cette large audience est due à une première traduction de ses œuvres en anglais par Edward Fitzgerald, en 1859.

Omar Khayyam
bazar

le bazar

posté par:mehdi rafiei/ 784 0

Des échoppes alignées formant la colonne vertébrale, le centre économique des villes du Moyen Orient, c’est ce qu’on appelle le bazar, depuis la nuit des temps.

le bazar

Des échoppes alignées formant la colonne vertébrale, le centre économique des villes du Moyen Orient, c’est ce qu’on appelle le bazar, depuis la nuit des temps.

Un marché couvert, aux mille et une entrées et ruelles, aérées et éclairées. L’écrin qui cache les madrassas, les caravansérails, les écoles et les hammams. C’est une ville dans ville, c’était le cas auparavant.

Un couloir à la rencontre de ses habitants, tant de marchands que de chalands.

Un magasin, des marchandises, on y trouve tant d’aliments que de diamants.

Les uns à côté des autres, les boulangeries côtoient les bijouteries, à chacun ses affaires, son savoir-faire et ses clients.

Il serpente au fil du temps et suit son cours selon les contraintes et les besoins environnants.

Les héritiers portent le nom des parents, et on se souvient avec nostalgie des précédents.

Le bazar à mille secrets et offre une chance à tous les débutants, avec ou sans expérience et argent.

Ne soyez pas surpris par le nombre déchoppes, pas de problème de concurrence, ils gagnent tous ce qui est promis par l’Omnipotent.

café

Café en Iran

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L’histoire du café en Iran remonte à la période Safavide du 17ème siècle, probablement une tradition
empruntée aux Ottomans.

Café en Iran

L’histoire du café en Iran remonte à la période Safavide du 17ème siècle, probablement une tradition
empruntée aux Ottomans.
Boire du café semble avoir été une habitude populaire des Iraniens avant que les plants de thé ne soient introduits et cultivés en Iran au 19ème siècle.
La culture du thé, en particulier dans les régions du nord du pays, a progressivement conduit au remplacement du café. Peut-être que le goût subtil et doux de la production locale à gagné la faveur des consommateurs par rapport à l’amertume de l’importation coûteuse du café.
Les anciens Kahveh-Khaneh, littéralement maisons de café, tout en gardant leur nom, servent désormais du thé.Les traces du café sont encore dans une certaine mesure préservées chez certaines communautés telle que chez les Arméniens. De même, certaines coutumes continuent d’exister, comme celle d’offrir de la poudre de café lors des funérailles pour partager le sentiment d’amertume, ressenti lors de la perte d’un proche avec la famille du défunt.

Après la révolution islamique, une longue liste d’interdictions s’imposent sur le menu des plaisirs iraniens. Les boissons alcoolisées et les narcotiques comme l’opium sont bannis, le café, bien que suspect à la vue des fanatiques, y échappe et s’en trouve favorisé.
Les Iraniens apprécient depuis toujours le goût de l’amertume, à un tel point que dans la langue populaire, l’opium, médicament pour tous les maux et peines était appelé “talkhi” littéralement amertume, ce qui explique le vif intérêt des anciens consommateurs d’opiacés pour le café en Iran.

Il faut attendre la fin de la guerre Iran-Irak pour une ouverture relative du marché et l’amélioration de l’économie du pays afin de permettre aux iraniens d’aller plus loin dans le monde des saveurs et des plaisirs gustatifs, une fois libérés des soucis de la guerre.

Le café et ses accessoires trouvent leur place parmi des articles de luxe importés et les souvenirs de “Farang”. Les iraniens attribuent ce terme à tout ce qui vient de l’Occident en général, c’est la version iranisée du mot France.
Boire du café se fait donc timidement dans les milieux intellectuels et artistiques qui cherchent un allié pour affronter la fatigue intellectuelle plus que physique, sujet de rivalité face a son adversaire infusé, le thé.

Mais cette fois, le café n’est plus initié dans les anciennes Kahveh-Khaneh là même où il a été destitué un siècle avant.
Ces maisons de café ont laissé la place à une nouveauté: le cofee-shop. Une atmosphère détendue aux décors modernes ou feutrés, une musique d’ambiance, c’est là où il faut payer relativement cher les tasses de ce breuvage, bues à la finesse de la lumière des bougies.

Un refuge idéal pour les jeunes célibataires, a l’abri des regards suspicieux de la rue pour se retrouver et discuter des mille et une façons de boire du café, ou d’autres choses…

La réouverture des frontières de l’Iran après la guerre aux voyageurs étrangers, leur forte demande de consommation de café pourrait être un facteur de développement du commerce de cette graine, surtout dans les restaurants et les hôtels.

Peu à peu, les acteurs de l’industrie du café commencent à se former à ce produit et suite à une demande croissante du public, se mettent à importer des grains de café du Brésil et d’autres pays producteurs. Au lieu d’importer les marques coûteuses européennes, des marques locales apparaissent et les machines à torréfaction s’activent en imitant le modèle européen.

Le palais iranien a une préférence pour les saveurs Robusta et Arabica, et les marques d’espresso italiennes sont très populaires.

Le café filtre, disons la troisième génération de café, est de plus en plus appréciée par ceux qui cherchent plus d’arômes et une préparation plus simple.

Diverses expositions sont organisées chaque année en Iran, une occasion pour se mettre à la page des dernières tendances et de l’actualité de l’industrie du café.

Aujourd’hui, le café a définitivement trouvé sa place dans le menu des plaisirs ainsi que dans le coeur des iraniens, si bien que son goût amer n’a plus rien a envier a la popularité de la douceur du thé!

saadi

Saadi

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“Le tumultueux torrent qui descend des montagnes va se perdre dans les ravins, mais la plus modeste goutte de rosée est aspirée par le soleil qui l’élève jusqu’aux étoiles”.

Saadi

“Le tumultueux torrent qui descend des montagnes va se perdre dans les ravins, mais la plus modeste goutte de rosée est aspirée par le soleil qui l’élève jusqu’aux étoiles”. Le jardin des fruits de Saadi
Saadi, le grand poète persan né en 1210 à Shiraz, a été surnommé le “Maître de la parole”. Il a étudié à l’école Al Nizamiya de Bagdad, le centre le plus important de sciences dans le monde musulman de l’époque, puis il a voyagé dans diverses régions, y compris le Levant et le Hedjaz.
Il est ensuite retourné dans sa ville natale de Shiraz et y a demeuré pour le restant de sa vie. Sa tombe est visitée encore de nos jours pour lui rendre hommage.
Certains savants pensent que Saadi est influencé plutôt par des enseignements religieux, surtout Shafi’i et Ash’ari, deux branches du Sunisme, et qu’il serait fataliste. Ce propos est discutable car pas tout à fait fondé.
Saadi a eu une influence indéniable sur la langue persane, de sorte qu’il existe une similitude significative entre le persan moderne et ses écrits littéraires. Ses œuvres ont longtemps été enseignées dans les écoles comme source de la langue et de la littérature persane, et de nombreux proverbes courants en langue persane y trouvent leur origine.
Il écrit de façon simple et adopte un style bref ce qui lui vaut une grande renommée, même de son vivant.
Ses œuvres les plus fameuses sont Golestan, “Le jardin des roses” il est son oeuvre majeure. Cette somme philosophique en vers et en prose poétique, écrite dans un style tour à tour naïf, lyrique, tendre et parfois même humoristique, initie le lecteur à une perception plus fine de la réalité.
Derrière la sensualité apparente de la forme et au-delà de l’allégorie, se dévoile peu à peu la nature profonde, le « zat » de tout être et de toute chose, dont la connaissance est l’essence même de l’éveil spirituel., et Bustan “Le jardin des fruits”, Le Jardin des fruits est un recueil des histoires morales d’une grande finesse, qui contient aussi sentences et prières. Ces courtes histoires, souvent drôles, ont pour la plupart une dimension morale ou sociale. Elles constituent autant d’occasions d’apprendre à se comporter dans des situations problématiques de l’existence, et de sortir moralement grandi de ses mésaventures. La dimension spirituelle de ces histoires peut également prendre le pas sur tout autre considération, invitant alors à la méditation et au recueillement.

Golestan et Bustan sont connus comme des livres de morale dont l’influence s’est étendue au delà des frontières de la Perse: ils ont également séduit des penseurs occidentaux tels que Voltaire et Goethe, entre autres.

ghahri_ashti alley, yazd ,iran

La ruelle “Ghahro-Ashti”

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La ruelle “Ghahro-Ashti”, littéralement “Fâché-Réconcilié”, se situe dans la vieille ville de Yazd.

On y trouve des ruelles tellement étroites que si deux passants se croisent, …

La ruelle “Ghahro-Ashti”,

littéralement “Fâché-Réconcilié”, se situe dans la vieille ville de Yazd.
On y trouve des ruelles tellement étroites que si deux passants se croisent, ils doivent se mettre sur le côté et raser le mur pour pouvoir passer sans se bousculer.
Si deux personnes sont fâchées et se boudent, leurs amis interviennent pour les réconcilier d’une façon très originale.
D’un côté, on emmene l’un des deux bougons vers le piège en revenant sur le sujet de la dispute et en linterpellant sur les causes du conflit, pendant que des complices traînent l’autre protagoniste en lui tendant le même piège, tout en proférant des discours moralisateurs à chacun, ayant pour but de les raisonner. Au moment de se croiser, on les pousse l’un vers l’autre pour les forcer à l’accolade et ainsi mettre fin à la querelle. Manœuvre simple, mais pas toujours aussi facile dans la pratique… Le résultat est parfois catastrophique face au refus de se reconcilier, à force de gesticulations causées par la tentative de fuite, cela entraîne parfois quelques blessures et même un attisement du feu de la querelle…

La glacière, abar_kouh, yazd

La glacière

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La glacière est une coupole conique en pisé qui recouvre un réservoir hémisphérique creusé dans la terre.

C’était un endroit construit afin de produire et conserver la glace.

La glacière

La glacière est une coupole conique en pisé qui recouvre un réservoir hémisphérique creusé dans la terre. C’était un endroit construit afin de produire et conserver la glace.
Il y a des bassins creusés dans le sol et des murs très épais près de la coupole pour faire de la glace pendant la nuit en hiver. On versait de l’eau dans les bassins, l’eau gelait. Le lendemain on venait pour casser des blocs de glace et les entreposer dans le réservoir. De la paille disposée entre les couches servait d’isolant.
La forme conique et une épaisseur considérable des murs à leur base empêchaient la chaleur d’entrer à l’intérieur.
Après avoir rempli la glacière, on la fermait et on revenait en été pour exploiter les réserves de glace et les vendre dans la ville.
A l’occasion de fêtes privées ou lors de l’accueil d’invités, les sorbets à la glace faisaient partie des plaisirs rafraîchissants.

ispahan-Les-pigeonniers

Les pigeonniers

posté par:mehdi rafiei/ 733 0

Les pigeonniers servaient bien entendu d’abri pour les pigeons, mais ce n’était pas leur seule fonction.

Ils étaient construits près des champs cultivés par les agriculteurs qui recueillaient les excréments des volatils pour les utiliser comme engrais organique.

Les pigeonniers

Les pigeonniers servaient bien entendu d’abri pour les pigeons, mais ce n’était pas leur seule fonction. Ils étaient construits près des champs cultivés par les agriculteurs qui recueillaient les excréments des volatils pour les utiliser comme engrais organique.
Tous les 6 mois, les agriculteurs venaient chercher cet engrais afin d’enrichir les sols ou vendre le produit. Aujourd’hui, nous savons que ces excréments sont riches en azote, un élément essentiel pour les cucurbitacées comme les melons. Pas étonnant que les melons d’Ispahan aient une réputation depuis 1000 ans.
La structure comprend un large cylindre central qui est entouré de plusieurs cylindres plus petits; tous sont faits de brique et de pisé.
Des milliers de nids sont aménagés à l’intérieur des cylindres.
Les seules entrées de la tour sont de petits trous en hauteur, aussi gros qu’un pigeon, pour empêcher l’entrée des oiseaux de proie. Il y a aussi une bande d’enduit de plâtre glissant autour de la tour pour empêcher la montée des serpents.
Les tours à pigeons ne se trouvent que dans la province d’Ispahan, certaines ont été restaurées et sont ouvertes aux touristes.

Les heurtoirs, yazd, la porte

Les heurtoirs

posté par:mehdi rafiei/ 702 0

Les heurtoirs ne sont pas seulement des accessoires décoratifs accrochés aux lourdes portes de bois, ils ont une connotation culturelle particulière.

Les femmes, à l’intérieur des maisons devaient porter le hijab en présence de personnes extérieures à la famille proche frappant à la porte.

Les heurtoirs

Les heurtoirs ne sont pas seulement des accessoires décoratifs accrochés aux lourdes portes de bois, ils ont une connotation culturelle particulière. Les femmes, à l’intérieur des maisons devaient porter le hijab en présence de personnes extérieures à la famille proche frappant à la porte. On trouve deux marteaux sur chaque battant des portes d’entrée, ayant chacun une forme différente et une tonalité différente.
Celui de forme circulaire a un son plus aigu et indique qu’une femme se tient devant la porte.
La poignée plus lourde a un son plus grave et plus imposant et nous dit que c’est un homme qui rend visite à la maison.

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Le trésor royal de l’Iran

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Le trésor royal de l’Iran (Joyaux de la couronne)
Le trésor royal, probablement une collection inégalée au monde,

se trouve actuellement dans le sous-sol de la banque Iran Melli. L’accumulation de ce trésor remonte à l’époque safavide au 17ème siècle.

Le trésor royal de l’Iran (Joyaux de la couronne)

Le trésor royal, probablement une collection inégalée au monde, se trouve actuellement dans le sous-sol de la banque Iran Melli. L’accumulation de ce trésor remonte à l’époque safavide au 17ème siècle. Après la conquête de l’Inde par Nader Shah, il a rapporté dans son butin de nombreuses pierres précieuses dont les deux plus gros diamant rose du monde « Mer de lumière » et « Montagne de lumière ». Ce dernier est entré plus tard dans la possession de l’armée britannique et a finement orné la couronne de la reine.
A l’ère Qajar, à nouveau, Fath Ali shah a prit possession d’une partie du trésor, l’intérêt personnel des rois Qajar a fait que le trésor s’agrandie et se dote de nouveaux joyaux soit achetés soit reçu comme des cadeaux diplomatiques.
En 1937, une loi exigeait que le trésor soit transféré à la banque nationale (Melli) en tant que dotation financière de la monnaie nationale.
La visite du trésor royal est désormais ouverte au public, on peut admirer des pièces uniques telle que:
La couronne de la dynastie Pahlavi de 2080 grammes, utilisée par Reza et Mohammadreza Shah lors de leur cérémonie de couronnement. Le célèbre diamant Daraye-Noor (mer de lumière) de 182 carats de couleur rose.
La couronne Kiani de Fath Ali shah et servis également par d’autres rois Qajar, sertie d’un grenat de 120 carats.
Le globe bijou, fabriqué en 1869 sur l’ordre de Nasserdin-shah, est essentiellement composé de 3656 grammes d’or et sertie de 51366 pierres précieuses.
Le trône du paon (en persan nommé Tawouss, bien-aimé de Fath Ali Shah) datant du début du XIXe siècle.
Notez que les heures de visite sont à partir de 14h00. à 16h30 Ouvert du samedi au mardi sous un contrôle strict.

Le musée de iranbastan

Le musée archéologique (Irane -Bastan)

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Iran-e-Bastan,
Le plus important musée archéologique d’Iran,

construit dans les années 1930 sous la direction d’André Godard, l’architecte français.

Le musée archéologique (Irane -Bastan)

Le plus important musée archéologique d’Iran, construit dans les années 1930 sous la direction d’André Godard, l’architecte français. Il abrite des collections découvertes lors des missions archéologiques menées un peu partout dans le pays.
L’entrée a été inspirée par la magnifique arche du palais Ctésiphon. Le bâtiment a deux étages. Le premier est réservé aux périodes paléolithique et préhistorique, et le rez-de-chaussée est destiné à des périodes historiques. Au total, le musée couvre près de 400 000 ans.
Les poteries sont les objets les plus abondants dans le musée et servent d’échelon à la chronologie archéologique.
Parmi les vitrines les plus remarquables on peut indiquer celle qui présente une collection de cachets et tampons (signifiant les signatures dans l’Antiquité), des sceaux cylindriques (principalement utilisés dans le commerce) ou encore des jetons enroulés dans des boulets en terre utilisés comme bordereaux de livraison.
Une autre vitrine présente des artefacts de Shahr-e-Sokhteh (la ville brûlée) qui est un site dans la région du sud-est de l’Iran datant du 3ème millénaire avant notre ère. L’un des objets les plus passionnants est une coupe montrant le plus ancien dessin animé de l’histoire humaine (un bouquetin peint se met en mouvement quand on fait tourner la coupe sur elle-même).
On peut admirer également une très riche collection d’objets en bronze de haut raffinement artistique originaires du Louristan tels que des mors, des épingles et des objets funéraires.
Un grand bas-relief rapporté de Persépolis montre le roi Xerxes entouré de courtisans.
Une statue sans tête de Darius découverte dans la ville de Suse et des mosaïques de la cité de Bishapour (période sassanide) sont d’autres oeuvres importantes à découvrir. Le musée Iran-e-Bastan se situe à proximité de certains autres musées comme celui consacré à la période islamique et celui de la verrerie.